17/02/2011

"Let England Shake" de Pj Harvey par OLAFSONISM


 Cette chronique ne parle presque pas de l'album, l'essentiel étant d'aller l'écouter/acheter/voler(même si c'est mal)/emprunter.



Je n'ai jamais été fan de PJ Harvey. Je ne l'ai jamais appelé Polly Jean pour me la jouer en soirée. Je suis bien incapable de citer le nom de deux albums minimum de la dame. Je n'ai d'ailleurs pas écouté tout ses albums, c'est qu'il y'en a une tripotée putain. Bref, je ne connais pas bien l' oeuvre de la fille du Dorset.


"Let England Shake" débarque à peine que je me rends compte que ma fâcheuse capacité à passer à coté de groupes/chanteurs/joueurs de guimbarde se vérifie encore une fois. Je suis passé à coté de PJ Harvey. Tout comme je suis passé à coté des Libertines du temps de leur formation. Le rapport? La RATP avait organisé un concert secret avec une affiche les réunissant, le dernier concert des "Libertines" d'ailleurs, qui, ce soir là, jouaient sans leur baril d'héroïne de chanteur. Le rapport? Je ne sais plus où je voulais en venir donc on s'en fout un peu de ce concert en métro.


Ici, pas de fatalité, plutôt une joie certaine de la découvrir (redécouvrir?) à travers cet album, au titre prometteur qui, à défaut de vraiment remuer l'Angleterre lui offre une chouette bande son pour fin d'hiver glacial et humide.


Les titres "Let England Shake", "The Glorious Land" et "The Words To Maketh Murder
remportent mon petit top 3 
(j'aime bien faire des tops 3 pour un album, merci de vous en foutre.).


J'ai froid en écrivant, Let England Shake tourne encore chez moi comme mon chien tourne 18 fois avant de se coucher, d'ailleurs, les basses de Pj Harvey ne semblent pas lui plaire plus que ça, mais on s'en fout, il ne peut pas aller aux concerts, ni à la Fnac d'ailleurs, normal puisqu'il n'est qu'un chien et que les chiens ne vont pas à la Fnac ni aux concerts.



En y repensant, j'aurais bien aimé y être à ce concert de la RATP.

Bon sang, que cette chronique est nulle.


Pardon Polly Jean.