22/04/2010

ROZETE « L’art postgraffiti »




Gouttières, panneaux signalétiques, feu de signalisation, vitrines, et autres surfaces lisses… le sticker s’adapte au milieu urbain. Utilisé dans les premiers temps comme moyen d’expression et de communication par les militants politiques, il permet d’envahir des supports différents.







Il ne faut pas être parano. C’est ce que je retiens en suivant Rozete car poser des stickers, ça pourrait être un geste anodin mais ça demande de la rapidité et surtout le coup d’œil pour ne pas se faire voir par la police. J’essaie de comprendre cette nouvelle forme d’art qui permet aux tagueurs de poser leur tags ou graffs instantanément, n’importe où, avec un risque plus faible de se faire arrêter… et de se distinguer les uns des autres. Le but je pense étant d’être plus créatif que l’autre et plus visible.









« Je veux que l’on me voit, et être différent des autres », c’est réussit !
De la couleur dans les rues. Le dessin de Rozete est un dessin simple, efficace. Il est facilement reconnaissable. Il se distingue par sa forme carré et deux ronds représentant des yeux et par sa couleur (plusieurs échantillons différents du même dessin).
En ce qui me concerne, je vois dans ce sticker, une tour d’immeuble (‘je ne suis pas fou, vous savez !’).



"Toulon sous les sticks"
Rozete n’est pas un seulement un énième décorateur d’extérieur, il est reconnaissable, il est simple, il met du vivant dans une région où cette forme de culture est peu présente.
En feuilletant les pages internet et les forums sociaux, j’ai vu que l’on peut retrouver Rozete pas seulement dans le Sud de la France mais aussi dans d'autres villes étrangères…

Sa rencontre fut un plaisir et un enrichissement : tranche de Rozete ! (Fiouuuu j’avais trop envie) ….

Maque le Rozete (Facebook)


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